Dominé Par La Babysitter (1) - La Maison De Velours [ I ]

{Disclaimer : Ça fait longtemps que je lis des histoires ici mais c'est la première fois que j'en écris une. N'hésitez pas à me faire vos retours ! J'ai pas mal d'idées pour la suite mais si vous pensez à des tournures que pourrait prendre l'histoire n'hésitez pas non plus ! }

Comme tous les samedi soirs, je suis en train de m'habiller quand on sonne à la porte. Je traverse l'appartement tout en finissant de couronner ma chemise, me passe la main dans les cheveux pour leur donner un semblant d'ordre, et j'ouvre la porte sur Alice, souriant comme toujours.

Alice est notre babysitter, à ma femme et à moi, depuis presque un an. On a trouvé son annonce sur internet après avoir expérimenté bon nombre de ses collègues, désastreux pour la plupart. C'est une jeune fille blonde de 17 ans, petite et fine, toujours de bonne humeur et bien habillée. Notre fils l'adore.

"Bonsoir Alice, rentre, je t'en prie ! Comme d'habitude c'est un peu la course. Aiden a mangé, tu peux le coucher d'ici une demi-heure. Pour le reste, tu connais, fais comme chez toi."

Chaque semaine, Veronica et moi sommes occupés, chacun de son côté. Elle, pour le travail, moi pour le plaisir. Je me rends a la soirée hebdomadaire du barreau, à laquelle sont présents tous les bons avocats de Philadelphie, triés sur le volet. Je noue ma cravate, enfile ma veste, dépose un baiser sur la tête d'Aiden, et je file.

Le samedi soir est vite devenu une sorte de rituel dans notre famille. Veronica termine sa réunion et va dormir chez une copine après avoir bu un verre, moi je passe une bonne soirée au Club et je raccompagne Alice en voiture jusque chez elle. Ça me force à limiter ma consommation d'alcool pour la reconduire prudemment, mais c'est un minuscule prix à payer comparé aux bénéfices de sa présence à la maison.

Je referme la porte de l'appartement derrière moi discrètement. Il n'est pas rare qu'elle s'endorme devant la télévision.

Quand elle se réveille dans ses moments là, elle s'étire comme un chat et se frotte les yeux, deux mouvements ins qui lui donnent un côté écolière un brin sexy. Cette fois, elle est tombée dans les bras de Morphée devant Basic Instinct. Je profite un moment du jeu de jambes de Sharon Stone, puis j'éteins l'écran et je secoue doucement l'épaule d'Alice.

Elle se redresse sur le canapé et je lui tends soixante dollars, sa paye pour la soirée, plutôt généreuse, mais elle fait du bon travail. Elle me sourit tout en s' emparant des billets, puis ramasse ses affaires et remet ses chaussures. Je l'attends près de la porte d'entrée en jonglant avec mes clés de voiture.

"Votre soirée s'est bien passée, monsieur Adams ?"

"Très bien, et toi ? Aiden a été sage ?"

"Oh oui ! Je sais me faire respecter, et tout le monde est obéissant après."

"Félicitations. Il en a découragé des plus coriaces pourtant."

Elle att son sac et se dirige vers moi.

"C'est bon je suis prête !"

Je lui souris en lui tenant la porte.

"Allons y alors, après toi."

Nous montons dans la voiture et je démarre. Alice vit a dix minutes de chez moi. C'est le bus qui la dépose à l'aller, mais il est souvent trop tard pour qu'elle puisse le prendre au retour. De toutes façons, je préfère la raccompagner moi-même, afin d'être sûr qu'elle est bien rentrée saine et sauve. J'aime bien ces moments, il nous arrive souvent de parler de choses plus intimes. Elle m'a déjà parlé des garçons qui lui tournent autour au lycée, en me demandant parfois des conseils. Il est vrai que j'aurais sûrement tenté ma chance moi aussi, si j'avais été dans le même lycée qu'elle.

"Alors, ce Scott ? Il s'est lancé ?"

Elle hoche la tête.

"Oui. Mais j'ai refusé. Il est beau, mais il est trop jeune et trop immature. De toutes façons, je préfère profiter de ma liberté avant de m'engager dans une relation.
"

"Je comprends. Tu as encore toute la vie devant toi. Tiens, nous y sommes."

Je m'arrête en face de chez elle. Alice enlève sa ceinture de sécurité et ouvre la portière, mais ne descend pas. Elle semble hésiter.

"Est ce que ça va Alice ?"

Elle referme la portière.

"Écoutez, ça fait longtemps que je me pose une question mais je n'ai jamais osé vous le demander. C'est un peu gênant."

"Je t'écoute, tu peux tout me dire. C'est à quel sujet ?"

Elle joue nerveusement avec une mèche de cheveux blonds.

"Eh bien... Voilà, je suis vierge."

Je dois dire que je ne m'attendais pas à ça. Je suis un peu pris de court et je me contente de la regarder, la questionnant du regard.

"Je... je n'ai jamais rien fait avec un homme. Mais je ne suis pas attirée par les garçons du lycée."

Sa main lâche ses cheveux pour se poser doucement sur ma cuisse.

"Je préfère les hommes plus expérimentés. Comme vous."

Elle se penche sur le siège et approche son visage du mien. Son parfum envahit mes narines tandis que sa main caresse doucement l'intérieur de ma cuisse. Je retourne le regard de ma babysitter, me demandant si je suis bien dans la réalité ou si j'ai trop bu ce soir. Ses lèvres viennent se coller à mon oreille et elle susurre.

"Je veux que vous m'appreniez."

Je ferme les yeux tandis qu'un frisson parcourt mon corps. Sa main remonte et frôle mon sexe en train de raidir. Je laisse échapper un petit soupir d'excitation. Alice rit doucement.

Toutes sortes de pensées se bousculent dans ma tête. Je suis marié, mais la vie sexuelle de notre couple bat de l'aile depuis la naissance de notre fils. Je n'ai jamais trompé Veronica, bien que je l'ai quelques fois envisagé. Mais Alice n'est qu'une gosse. Ça ne peut pas arriver.

Je tourne la tête pour lui dire non fermement en la regardant dans les yeux, mais elle penche la tête et vient coller ses lèvres aux miennes.
J'ai l'impression que toutes les veines de mon corps se sont soudainement mises à transporter du feu. Je l'att par la nuque pour l'embrasser plus fougueusement encore, et des doigts se referment à tracer l'étoffe de mon pantalon sur mon pénis désormais bien raide. Je gémis et me dégage de son étreinte.

"Pas ici. On pourrait nous voir."

Je démarre et roule quelques minutes en direction d'un motel que je connais non loin d'ici. Sa main n'a pas lâché mon sexe, se promenant dessus, en dessinant les contours, de haut en bas. Je me gare, coupe le moteur, et l'embrasse sauvagement à pleine bouche. Son rouge à lèvres à un goût délicieux de cerise. Je descends de la voiture en camouflant du mieux que je peux mon érection, je le dirige vers l'hôtel et je réserve une chambre pour deux. La réceptionniste rousse tend une clé à Alice, avec qui elle échange un sourire complice.

Je la suis dans les escaliers, admirant le balancement de ses fesses à chaque marche, me retenant d'y déposer une fessée. Alice ouvre la porte de la chambre et la referme derrière nous. Je la plaque contre la porte pour l'embrasser encore. Je la soulève et lui mordille le cou, puis je la porte jusqu'au lit, continuant mes baisers tout en l'allongeant. Mais elle me déséquilibre d'une poussée, échappant à mon emprise. Je me redresse, assis au bord du lit.

Elle me jette un regard enflammé.

"Je veux voir ce que vous valez à poil, monsieur Adams."

Elle a prononcé "monsieur" d'une façon à la fois moqueuse et sensuelle. Je m'exécute, enlevant ma veste et ma cravate. Mes chaussures, chaussettes et pantalon vont les rejoindre dans un coin de la chambre. J'enlève la chemise plus lentement. Je fais du sport tous les jours depuis que j'ai dix huit ans, et je ne sais pas si Alice s'attend à ce qu'un trentenaire comme moi puisse être conservé comme je le suis. Je vois son regard examiner tout mon torse, scrutant chaque muscle d'un air appréciateur.

"Pas mal.
A mon tour, maintenant."

D'un geste adroit, elle se tourne et fait passer son t-shirt par dessus sa tête, dévoilant un dos fin, sans soutien-gorge. Elle me lance un clin d’œil par dessus son épaule tout en se cambrant pour faire glisser son jean le long de ses jambes, exposant alors une magnifique paire de fesses, rondes et rebondies, encore plus mises en valeur grâce à un élégant string noir. J'approche ma main de sa croupe, mais elle me donne une petite tape dessus.

"Oh non. Tu touches quand je décide."

Elle commence alors à danser. Je suis presque hypnotisé par ses reins qui se ondulent tandis qu'elle se rapproche doucement de moi. Elle plie progressivement les genoux, amenant ses fesses à se tortiller contre mon bas-ventre. Mon érection déforme mon boxer, au point que c'en est presque douloureux. J'hésite à braver son interdiction pour poser mes mains sur ses hanches.

Comme si elle lisait dans mes pensées, elle s'éloigne d'un coup, ce qui me fait gémir de frustration. Elle semble s'en amuser et se retourne doucement, dévoilant petit à petit sa poitrine qu'elle recouvre de son bras. Elle m'enfourche, face à moi, et découvre ses seins, petits, mais ronds et fermes, surmontés de tétons roses qui commencent à se raidir.

Je laisse la tête dans l'espoir de les caresser de ma langue, mais Alice m'a vu venir et me saisit par les cheveux, me tirant la tête en arrière. Une gifle claque sur ma joue.

"Tu n'as pas entendu ce que je t'ai dit ? Tu touchera quand je t'aurais dit de toucher, pas avant. C'est compris ?"

Comme je ne réponds rien, elle vient emprisonner au creux de sa paume mes testicules, et elle serre doucement.

"C'est compris ?"

"Oui Alice."

Je suis trop excité par tout ça pour laisser un caprice d'adolescente me refroidir. Sa main lâche mes testicules et remonte le long de ma verge, à travers mon boxer. Je frémis, mais elle ne s'attarde pas dessus, caressant mes abdominaux, puis mon torse, avant d'entourer mon cou. Elle de glisse contre mon oreille et murmure.

"C'est bien."

Puis elle lâche tout et recule d'un pas. Elle semble hésiter, mais tend finalement sa jambe. Son pied vient caresser l'intérieur de mon mollet, passe sur ma cuisse, et termine sur mon sexe. Je ferme à nouveau les yeux, mais Alice ne l'entend pas de cette oreille. Son pied délaisse mon bas ventre pour se poser sur ma poitrine. Elle pousse soudainement, me clouant au lit. Elle approche ses orteils de mon visage.

"Lèche."

Je m'exécute sans discuter, soutenant son mollet de la main gauche tandis que je glisse la droite sous l'élastique de mon boxer. Elle me repousse soudain. Son talon frappe mon menton, et je me mors l'intérieur de la joue. Le goût métallique envahit ma bouche. J'ouvre la bouche pour protester.

"Mais..."

"Silence !"

Son visage angélique s'est métamorphosé en quelque chose de beaucoup plus dur et elle me fusille du regard. Une petite voix en moi me chuchote de fuir cette chambre d'hôtel. Mais Alice est une fois de plus trop rapide. Elle pose un doigt sur mes lèvres.

"Je suis la seule ici qui a le droit de te toucher. Est-ce bien clair ?"

Je m'apprête à nouveau à tenter de protester, mais elle lève un sourcil, comme pour me mettre au défi de dire autre chose que ce qu'elle attends de moi.

"Oui."

Elle me sourit et me flatte de deux petites tapes sur la joue.

"C'est bien. Maintenant, on va te débarrasser du goût que tu as dans la bouche."

Elle se met debout sur le lit, une jambe de chaque côté de moi, et laisse glisser son string le long de ses jambes. Deux colonnes de chair lisses, fines et galbées, que je n'ai pas le temps d'admirer autant que je le voudrais car elle s'assied sur mon visage. Elle pousse un petit gémissement quand je commence à la lécher. Son sexe est lisse et je m'enivre de son goût acidulé. Je m'applique pour la contenter, lui montrant toutes les techniques que j'ai apprises au fil des années.

Au bout de quelques minutes, elle semble s'abandonner, la tête renversée en arrière, donnant de plus en plus de voix, bougeant son bassin pour se frotter contre mon visage. Je continue, accélérant même le rythme, et elle finit par jouir sur mon visage, le corps agité de spasmes, en poussant un ultime cri. Elle se laisse tomber sur le dos, à côté de moi sur le matelas. Sa main se pose sur mon épaule tandis que sa jambe se glisse entre les miennes. Son orgasme a eu l'air de l'avoir calmée pour la soirée.

Je lui souris, intérieurement assez fier de voir que je me débrouille toujours avec ma bouche.

"Alors ?"

Au moment où le mot franchit mes lèvres, je vois un sourire sadique illuminer son visage, et je comprends que je suis tombé dans le piège qu'elle me tendait. Elle n'est pas du tout calmée. Bien au contraire.

Son genou remonte, se posant sur mes testicules, m'immobilisant tandis que sa main se referme en une griffe et laboure tout mon torse d'un seul mouvement, en diagonale. Je retiens un cri de douleur. Ma poitrine est maintenant zébrée de griffures rouges.

"Je t'avais dit de te faire, non ?"

Voulant éviter toute nouvelle sévisse issue de son imagination perverse, mais néanmoins fertile, j'acquiesce sans rien dire. Elle sourit et passe négligemment sa main dans mes cheveux, comme elle ferait pour caresser un animal.

"C'est bien."

Elle se penche sur mon torse et dépose des baisers le long des griffures.

"Malgré quelques désobéissances, tu as quand même fait du bon travail. A mon tour de m'occuper de toi maintenant."

Ses baisers descendent le long de mon ventre. Mon pénis, à moitié dur, se redresse en la voyant se rapprocher, mais elle l'ignore, continuant à l'embrasser à l'intérieur des cuisses, ignorant tout ce qui attend douloureusement dans mon boxer depuis tout à l'heure. Alice en att habilement l'élastique entre les dents et le descend doucement, faisant jaillir mon sexe désormais libéré et bien dur. Elle fait glisser le sous-vêtement au sol et reprend ses baisers. Elle frôle mes testicules, qui se rétractent tandis que mon pénis se cabre d'excitation en sentant la chaleur de son souffle. Elle me regarde droit dans les yeux en souriant tout se laissant glisser du lit pour finir à genoux sur la moquette de la chambre.

Sa main att mon membre gonflé sans prévenir, et l'attire vers elle, m'obligeant à me rapprocher du bord.

"C'est bien, tu comprends ce que je t'ordonne maintenant. Profite bien de ce qui va suivre."

Sa tête disparaît entre mes cuisses et je sens sa langue, chaude et humide, glisser lentement sur mes testicules, puis remonter le long de ma verge tendue. Une fois arrivée au sommet, j'attends qu'elle prenne mon sexe en bouche, mais il n'en est rien. Elle laisse le doute planer quelques instants, entourant le bout de mon pénis de ses lèvres chaudes.

Je dois lutter de toutes mes forces pour ne pas céder à la tentation de l'attr par les cheveux et de m'enfoncer dans sa gorge d'un profond coup de rein. Ça serait assurément une sensation parfaite, mais qui sait ce qu'elle a encore en réserve au rayon des châtiments corporels. Je ne peux m'empêcher de laisser échapper un grognement de frustration quand je sens sa bouche desserrer son étreinte pourtant déjà plus que délicate. Elle donne une petite tape sur ma verge qui la fait tressauter.

"J'ai dit silence. Tu aura uniquement le droit de faire du bruit quand tu jouira. Si jamais je décide de te laisser jouir."

Elle entreprend alors de laper mon sexe, chaque centimètre de peau recevant un rapide petit coup de langue. L'attente combinée à toutes ses stimulations m'ont rendu ultra sensible, tandis que la frustration et l'excitation accumulées rendent mon érection douloureuse et dure comme du bois. Je ne veux plus qu'une seule chose c'est qu'elle me soulage.

Elle s'arrête pourtant uniquement quand tout mon pénis est devenu humide de sa salive, après plusieurs minutes de cette délicieuse . Alors, sans prévenir, elle att mon sexe à pleine main, et l'abaisse d'un coup sec, dévoilant mon gland. La sensation est telle que je me cambre sur le lit. Alice rigole d'un petit rire sadique.

"Alors, c'est trop agréable pour que tu le supportes ? C'est dommage, moi qui voulais continuer à jouer avec toi... Si tu ne peux pas endurer une simple secousse, je ne sais pas si c'est bien sage de continuer."

J'hésite entre l'implorer de continuer et garder la bouche close comme elle me l'a ordonné. Mon esprit est totalement embrumé, submergé par la vague de plaisir que cette simple caresse a provoquée. Je la regarde avec un regard suppliant, ce qui la fait rire à nouveau.

"Tu ressemble à un chaton perdu. Disons que je suis une chatte et que je vais te prendre sous mon aile. Je vais commencer par faire ta toilette."

Alice saisit mon sexe, maintenant la peau en bas pour dévoiler mon gland rouge et gonflé de désir. Elle en approche son visage, et donne un coup de langue. Puis plusieurs autres. Elle lèche toute la surface, mais se concentre sur les parties sensibles, sa langue se faufilant sous la corolle, le long du frein, avec une agilité et une dextérité incroyable. Tout mon bas-ventre se contracte involontairement. Elle lâche mon pénis, et celui-ci se met à tressauter de façon incontrôlable. Je n'arrive plus à aligner deux pensées cohérentes, tout mon esprit est focalisé sur mon sexe brûlant de désir.

Soudainement, Alice ouvre la bouche et avale ma verge d'un seul coup, brutalement. Mon gland est soudain prisonnier, comprimé au fond de sa gorge, tandis que sa langue tourne autour de mon sexe. Sa main droite vient serrer les quelques centimètres qui n'ont pas pu rentrer et la gauche capture mes testicules. Je manque jouir dans sa bouche sous l'action combinée de la chaleur et de ses caresses, mais je parviens à me retenir de justesse. Je refuse que cela se finisse aussi vite après ces longues minutes de frustration et d'attente.

Alice laisse ses lèvres remonter le long de mon sexe, suivies par sa main. Elle commence des mouvements de va-et-vient tout en gardant mon gland en bouche, le suçant et le léchant tour à tour. Pour compléter le tout, sa main gauche palpe et malaxe doucement mes bourses, le tout sur trois rythmes différents. Ma tête part en arrière et je serre les mâchoires pour ne pas hurler tant c'est bon.

Soudain, tout s'arrête. Au moment où je relève la tête, inquiet, pour voir ce qui va suivre, Alice m'empoigne et me masturbe énergiquement, ce qui me renvoie la tête dans l'oreiller. Elle crache sur mon sexe pour accélérer le rythme et je sens les prémisses de l'orgasme arriver. Ma respiration s'accélère et je ferme les yeux, prêt a exploser dans sa main à tout moment.

Et elle s'arrête.

Le plaisir qui commençait à me submerger est instantanément balayé par la douleur et la frustration. Mon premier réflexe est d'attr mon sexe, mais Alice me saisit les poignets et pèse de tout son poids dessus, les maintenant au dessus de ma tête avec une force étonnante, m'immobilisant totalement. Je tente de me contorsionner en gémissant, mais rien à faire. Alice se penche sur moi et m'embrasse sauvagement, mordant la lèvre inférieure, puis elle s'assied sur mon torse, les genoux bloquant mes bras. Elle me caresse la joue presque tendrement, puis me gifle sans prévenir, gratuitement. Elle se penche sur mon visage, ses seins caressent ma pommette meurtrie, son téton frôle le coin de mes lèvres, inaccessible.

"Fini de jouer maintenant, Neal. Je mets fin à tout ce supplice et je te laisse jouir tout de suite si tu me promets qu'on recommencera. Sinon, je reste sur toi et j'attends que tu débandes, mais ca risque d'être douloureux pour ta jolie queue. C'est compris ?"

Je laisse échapper d'une voix rauque.

"Oui, tout ce que tu veux ! Je t'en prie !"

Elle sourit a nouveau.

"Bien. Laisse moi honorer mes engagements."

Alice glisse lentement le long de mon corps en creusant les reins. Rien que la vue de son cul parfait provoque un sursaut involontaire de ma verge. Elle se laisse à nouveau glisser à genoux devant moi, mais je peux lire dans son regard qu'elle n'est plus là pour jouer.

Sa main att mon sexe et entame de longs va-et-viens. Elle serre fort, et crache sur mon gland pour accélérer le mouvement. Je ferme les yeux et je m'abandonne quand elle me prend en bouche tout en continuant de me masturber. La chaleur et la profondeur de sa bouche me rapprochent de l'orgasme à chaque succion. Mes muscles se contractent, Alice arrête de me sucer mais me caresse de plus en plus vite, de plus en plus fort, jusqu'à ce que je sois emporté par l'orgasme le plus intense de la vie. J'éjacule de longues salves de semence, je pousse un râle de satisfaction et je ferme les yeux.

Quand je les rouvre, je suis seul dans la chambre. Alice a disparu avec toutes ses affaires. Je prends une douche rapide pour me remettre les idées en place et je rentre chez moi directement.

Si j'avais retrouvé mes esprits plus vite, j'aurais pu voir Alice se rhabiller, un sourire content sur le visage. J'aurais pu la suivre hors de la chambre, descendre les escaliers jusqu'au comptoir de la réceptionniste. J'aurais pu les entendre échanger quelques mots. J'aurais pu voir Alice récupérer une clé USB, contenant plusieurs fichiers vidéo. Fichiers sur lesquels on peut très distinctement suivre nos ébats et reconnaître mon visage.

Alors je me serais sûrement méfié.

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